SGS, leader mondial de l’inspection, du contrôle, de l’analyse et de la certification, spécialement présent dans de nombreux secteurs réputés « masculins » (produits pétroliers, miniers, industriels, automobiles, agricoles, …), balaye les idées reçues : plus d’1/3 de ses effectifs sont des femmes et elles représentent près d’1 cadre sur 2.
Après enquête interne auprès de ses DRH, le Groupe SGS apparait mieux positionné que la moyenne des entreprises françaises, tant au niveau de la rémunération que des évolutions de carrière. Pour continuer sur cette lancée positive et attester de son engagement pour la non discrimination et l’éthique, SGS a signé un accord sur l’égalité professionnelle Femmes-Hommes le 27 avril 2010. Objectif ? Déterminer et résorber les écarts éventuels et améliorer encore les évolutions de carrière des femmes.
3 éléments souvent source d’inégalité sont passés au crible…
La rémunération
L’écart moyen de rémunération entre les hommes et les femmes au niveau national s’élève à 19% dans le secteur privé pour les salariés à temps complet (enquête INSEE-DADS 2004 et DARES-PIPS 2006). Or chez SGS, nous sommes loin de ces écarts :
- Non Cadres (1 700 salariés) : 1,50% en faveur des hommes
- Cadres hors comités de direction (600 salariés) : 7% en faveur des femmes
- Membres des comités de direction, mandataires (100 salariés) : 10% en faveur des hommes
L’ancienneté
Chez les cadres comme chez les non cadres, l’ancienneté moyenne des femmes et des hommes est très proche. La différence se situe au niveau de la centaine de cadres de direction où l’ancienneté est de 22 ans pour les hommes et seulement 16 ans pour les femmes.
Après enquête interne auprès de ses DRH, le Groupe SGS apparait mieux positionné que la moyenne des entreprises françaises, tant au niveau de la rémunération que des évolutions de carrière. Pour continuer sur cette lancée positive et attester de son engagement pour la non discrimination et l’éthique, SGS a signé un accord sur l’égalité professionnelle Femmes-Hommes le 27 avril 2010. Objectif ? Déterminer et résorber les écarts éventuels et améliorer encore les évolutions de carrière des femmes.
3 éléments souvent source d’inégalité sont passés au crible…
La rémunération
L’écart moyen de rémunération entre les hommes et les femmes au niveau national s’élève à 19% dans le secteur privé pour les salariés à temps complet (enquête INSEE-DADS 2004 et DARES-PIPS 2006). Or chez SGS, nous sommes loin de ces écarts :
- Non Cadres (1 700 salariés) : 1,50% en faveur des hommes
- Cadres hors comités de direction (600 salariés) : 7% en faveur des femmes
- Membres des comités de direction, mandataires (100 salariés) : 10% en faveur des hommes
L’ancienneté
Chez les cadres comme chez les non cadres, l’ancienneté moyenne des femmes et des hommes est très proche. La différence se situe au niveau de la centaine de cadres de direction où l’ancienneté est de 22 ans pour les hommes et seulement 16 ans pour les femmes.
Il en va de même de l’âge moyen où là aussi on constate peu d’écart, si ce n’est dans la population des cadres de direction :
- 38 ans pour la catégorie Non Cadres (39 ans pour les hommes et 37 ans pour les femmes) ;
- 39 ans pour la catégorie Cadres (40 ans pour les hommes, 37 ans pour les femmes)
- 49 ans pour la catégorie Cadres Dirigeants (51 ans pour les hommes, 41 ans pour les femmes)
Sur le dossier de l’égalité Femmes-Hommes, le groupe SGS est donc bien positionné. On ne constate pas de disparité, en dehors de la catégorie des cadres de direction. Mais les chiffres SGS traduisent une montée en puissance continue, dans la hiérarchie du Groupe, de la catégorie des femmes. Les femmes représentent à présent 45% des cadres de l’entreprise. Elles sont en moyenne plus jeunes et sont promues plus tôt que leurs homologues masculins.
« Cette catégorie est amenée à évoluer, les cadres moyens et supérieurs d’aujourd’hui seront les cadres dirigeants et mandataires de demain. Dans le futur, le management sera forcément encore plus féminin ! », conclut Francis Bergeron, DRH du Groupe SGS France.
Nous avions rencontré Francis Bergeron dans le huitième Mag' de CarriereOnline TV. Cliquez ici pour visualiser l'interview.
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