Si Paris est recalé, ce ne sont pas 7 ans de réflexion qui guettent la capitale, mais 7 ans de regrets d'ici à 2012. Car 100 000 emplois partiraient du même coup en fumée : 60 000, espérés grâce aux chantiers, plus 40 000 autres attendus les 7 années suivant les Jeux, dont une moitié dans le tourisme, et l'autre dans les métiers du sport. Mais si les jeux ont lieu à Paris, plutôt qu'à Madrid, Londres, New York ou Moscou, les 7 ans de préparation garantiraient 6 milliards d'euros aux entreprises, assure une étude du Boston Consulting Group (BCG) de juin 2004. «Soit environ 10 000 emplois par an pendant 6 ans ou 20 000 pendant 3 ans, selon l'étalement du chantier», détaille Marc Benayoun, vice-président du BCG...
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